Quoi faire avec son malaise bien présent
Cela me fait de la peine que vous viviez cette tristesse ou ce malaise présentement. Je suis empathique à vous.
Parfois c’est bon de rester avec son malaise même longtemps avant qu’une solution claire et vraiment collée à ses besoins du moment surgisse et donne une direction précise pour agir et se faire du bien et/ou pour faire du bien aux autres. Cela demande du courage, de la patience durant ce moment où rien n’est encore clair.
Parfois c’est bon d’en parler à quelqu'un de confiance pour que le malaise ou la peine soit moins lourde à porter. Pour avoir ainsi un feed-back nourrissant qui fait du bien et se sentir moins seul, plus supporter. Que quelqu’un d’important pour la personne soit un témoin sensible et aimant de son vécu inconfortable ou souffrant. Parfois c'est dans les mots de l'autre qu'émerge une solution ou une façon de voir autrement la situation qui fait du bien à la personne.
Parfois aussi c’est bon pour la personne de faire autre chose pour se distraire de son malaise, pour s’investir ailleurs. Pour prendre un recul par rapport à la situation qui la rend mal et y revenir plus tard. De faire une activité créative, ludique, simple pour amener de l’énergie, des forces ou une détente profonde qui aide à revenir plus tard sur ce qui ne va pas. Et ce, plus en contact avec ses ressources et sa créativité pour trouver des solutions adéquates.
Assez fréquemment, c'est bon d'écouter son malaise, d'en parler puis de se distraire. Mais par moment, une personne peu avoir besoin de rester seule un bon bout de temps avant de le partager et/ou de se divertir. De rester seul avec son malaise sans s'en défendre et sans en responsabiliser les autres. Cette attitude créatrice permet souvent d'aller chercher des ressources intérieures. Ces forces vont aidé la personne soit à trouver des solutions concrètes ou soit à voir la situation sous un autre angle qui l'amènera à accepter davantage la réalité, à moins se juger...
D'en parler à quelqu'un rapidement peut aussi aider à calmer un malaise vif et intense. Parfois cela ne sert à rien d'attendre pour en parler. C'est juste bon de partager et de se sentir supporté. De téléphoner rapidement à un ami, de courir en thérapie, d'aller chez une amie de confiance...
De se divertir, cela peut être de pratiquer un sport, une passion, d'aller faire du yoga. Cela peut être tout simplement de contacter en soi sa pulsion de vie, sa joie de vivre. Qu'une bouffée de joie explose en soi pour enlever l'inconfort présent. Quand le malaise relationnel n'est pas trop intense ou vient plus d'un contact social que d'une relation importante, parfois c'est suffisant.
Parfois c’est bon de rester avec son malaise même longtemps avant qu’une solution claire et vraiment collée à ses besoins du moment surgisse et donne une direction précise pour agir et se faire du bien et/ou pour faire du bien aux autres. Cela demande du courage, de la patience durant ce moment où rien n’est encore clair.
Parfois c’est bon d’en parler à quelqu'un de confiance pour que le malaise ou la peine soit moins lourde à porter. Pour avoir ainsi un feed-back nourrissant qui fait du bien et se sentir moins seul, plus supporter. Que quelqu’un d’important pour la personne soit un témoin sensible et aimant de son vécu inconfortable ou souffrant. Parfois c'est dans les mots de l'autre qu'émerge une solution ou une façon de voir autrement la situation qui fait du bien à la personne.
Parfois aussi c’est bon pour la personne de faire autre chose pour se distraire de son malaise, pour s’investir ailleurs. Pour prendre un recul par rapport à la situation qui la rend mal et y revenir plus tard. De faire une activité créative, ludique, simple pour amener de l’énergie, des forces ou une détente profonde qui aide à revenir plus tard sur ce qui ne va pas. Et ce, plus en contact avec ses ressources et sa créativité pour trouver des solutions adéquates.
Assez fréquemment, c'est bon d'écouter son malaise, d'en parler puis de se distraire. Mais par moment, une personne peu avoir besoin de rester seule un bon bout de temps avant de le partager et/ou de se divertir. De rester seul avec son malaise sans s'en défendre et sans en responsabiliser les autres. Cette attitude créatrice permet souvent d'aller chercher des ressources intérieures. Ces forces vont aidé la personne soit à trouver des solutions concrètes ou soit à voir la situation sous un autre angle qui l'amènera à accepter davantage la réalité, à moins se juger...
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