La culpabilité dans le couple
Très souvent, si les deux personnes sont sensibles à la culpabilisation quand il y a un malaise important dans le couple, il y aura un système juge/coupable. Le conjoint qui se sent coupable cultive la culpabilité en accentuant ainsi sa part de responsabilité.
Le conjoint qui juge, fuit sa culpabilité comme la peste et remet spontanément à l'autre la part de responsabilité qui lui revient. D'écrire cela réveille en moi de la peine à voir des couples si coincés à s'obstiner pour ne pas se sentir coupable et ne plus trouver de chemin pour être ensemble.
Au niveau de l'image, le conjoint qui se culpabilise, qui est jugé et ne dit rien, conservera l'image et le sentiment d’être gentil. Il prendra tout le blâme. Et la personne qui juge se sentira méchante, se sentira mal d'être dans des reproches quand l'autre reste gentil. Et pour fuir ce malaise, jugera davantage.
C’est un jeu de pouvoir durant lequel la personne coupable est passive et la personne qui juge est active. Les deux entretiennent le système à leur façon. Et dans un couple, les polarités s’inversent souvent, tantôt l’un juge, tantôt c’est l’autre.
Le conjoint qui se débarrasse de sa culpabilité en jugeant garde une plus grande liberté sur le coup. C’est une personne qui a un grand besoin de liberté. Le conjoint qui se sent coupable perd sa liberté dans le but de ne pas perdre l’amour.
Souvent, le conjoint qui s'hyperresponsabilise aura à développer à ressentir sa colère afin de s'affirmer et remettre à l'autre sa part de responsabilité. C’est pour moi touchant d’accompagner une personne, de l’aider à s’accueillir, fois après fois, dans des situations où elle se sent coupable pour qu’à un moment donné elle ressente en elle de la colère. Puis par la suite, la voir s’affirmer en relation pour prendre sa juste part de responsabilité.
Le conjoint qui juge aura à ressentir ses peurs et ses besoins afin de revenir à sa responsabilité. Cela m’émeut et j’en aie les yeux humides de repenser aux personnes que j’ai entendues juger fortement les autres pour les aider graduellement à revenir à leurs sensations physiques, à leurs peurs et à leurs besoins réels. Puis de s’en occuper et se récupérer en relation afin de retrouver graduellement plus de paix intérieure.
Le conjoint qui juge, fuit sa culpabilité comme la peste et remet spontanément à l'autre la part de responsabilité qui lui revient. D'écrire cela réveille en moi de la peine à voir des couples si coincés à s'obstiner pour ne pas se sentir coupable et ne plus trouver de chemin pour être ensemble.
Au niveau de l'image, le conjoint qui se culpabilise, qui est jugé et ne dit rien, conservera l'image et le sentiment d’être gentil. Il prendra tout le blâme. Et la personne qui juge se sentira méchante, se sentira mal d'être dans des reproches quand l'autre reste gentil. Et pour fuir ce malaise, jugera davantage.
C’est un jeu de pouvoir durant lequel la personne coupable est passive et la personne qui juge est active. Les deux entretiennent le système à leur façon. Et dans un couple, les polarités s’inversent souvent, tantôt l’un juge, tantôt c’est l’autre.
Le conjoint qui se débarrasse de sa culpabilité en jugeant garde une plus grande liberté sur le coup. C’est une personne qui a un grand besoin de liberté. Le conjoint qui se sent coupable perd sa liberté dans le but de ne pas perdre l’amour.
Souvent, le conjoint qui s'hyperresponsabilise aura à développer à ressentir sa colère afin de s'affirmer et remettre à l'autre sa part de responsabilité. C’est pour moi touchant d’accompagner une personne, de l’aider à s’accueillir, fois après fois, dans des situations où elle se sent coupable pour qu’à un moment donné elle ressente en elle de la colère. Puis par la suite, la voir s’affirmer en relation pour prendre sa juste part de responsabilité.
Le conjoint qui juge aura à ressentir ses peurs et ses besoins afin de revenir à sa responsabilité. Cela m’émeut et j’en aie les yeux humides de repenser aux personnes que j’ai entendues juger fortement les autres pour les aider graduellement à revenir à leurs sensations physiques, à leurs peurs et à leurs besoins réels. Puis de s’en occuper et se récupérer en relation afin de retrouver graduellement plus de paix intérieure.