Gérer sa culpabilité
Le sentiment de culpabilité amène souvent le réflexe de se retourner vers soi-même. À être centré sur soi en ne considérant plus ce que vit la personne qui déclenche notre sentiment de culpabilité. Par exemple, de me sentir coupable parce qu'une personne me critique et de rester avec mon malaise sans demander à la personne pourquoi elle me dit cela, si elle a vécu un malaise précis avec moi.
Cela demande un effort... des efforts et du courage pour considérer l’autre quand je souffre de ce qu’il a dit ou a fait. Effort pour accepter que l’autre me culpabilise ou accepter que je me sens culpabilisé sans pour autant que cela soit réellement le cas. Puis, oser poser des questions pour saisir pourquoi l’autre me culpabilise, pour saisir sa réalité. Effort pour revenir au monde de l'autre, à saisir sa perception de la situation quand j'ai juste envie de lui dire que cela fait mal, de le juger et de le repousser.
Si je juge, ce sera l'effort de demander à la personne d'où elle partait pour avoir dit ou fait telle chose... et de l'écouter vraiment. C'est de saisir son propre monde et le monde de l'autre par rapport à cet événement précis qui va aider la personne à créer quelque chose de nouveau en elle qui soit propulsif pour les deux.
Coupable ou juge demande le même effort. Pour ne pas prendre toute la responsabilité ou pour arrêter de donner toute la responsabilité à l'autre. Ce sont les efforts nécessaires afin d’arrêter de se laisser dominer par son sentiment de culpabilité !
Une mère se sent coupable que sa fille reste seule avec ses malaises parce qu’elle ne se donne pas d’importance. «Elle tient cela de moi». Elle se sent coupable et ne le dit pas. Mais elle fait l’effort de dire à sa fille que cela lui fait de la peine qu'elle reste seule avec ses malaises. Ce qui touche sa fille qui se sent alors importante ce qui l’encourage à exprimer ses malaises, à se donner ce droit et cette liberté.
Une conjointe exprime à son chum un malaise, il se sent immédiatement coupable et la conjointe se sent coupable que son chum se sente coupable ! Que faire ? Les deux partenaires ne sont plus ensemble, ils s'opposent, pas méchamment, mais en étant chacun qu'avec soi-même. Cela sera peut être de reprendre la conversation en s’écoutant mutuellement, en vérifiant si ce qui est dit est bien entendu. En y allant plus lentement, en prenant son temps. En vérifiant si l’un veut volontairement culpabiliser l’autre quand il dit tel mot ou utilise tel ton de voix. Ici, de prendre son temps pour communiquer et de respecter le rythme de chacun est très important afin de rester, si possible, bien connecté à son ressenti, à ses émotions du moment.
C’est l’effort pour arrêter de donner tout le pouvoir à son sentiment de culpabilité. Si à deux, c'est difficile, un environnement accueillant sera possiblement plus favorable : un ami commun, la nature, un thérapeute, une activité plaisante, qui aidera à recréer un rapprochement tant désiré.
Cela demande un effort... des efforts et du courage pour considérer l’autre quand je souffre de ce qu’il a dit ou a fait. Effort pour accepter que l’autre me culpabilise ou accepter que je me sens culpabilisé sans pour autant que cela soit réellement le cas. Puis, oser poser des questions pour saisir pourquoi l’autre me culpabilise, pour saisir sa réalité. Effort pour revenir au monde de l'autre, à saisir sa perception de la situation quand j'ai juste envie de lui dire que cela fait mal, de le juger et de le repousser.
Si je juge, ce sera l'effort de demander à la personne d'où elle partait pour avoir dit ou fait telle chose... et de l'écouter vraiment. C'est de saisir son propre monde et le monde de l'autre par rapport à cet événement précis qui va aider la personne à créer quelque chose de nouveau en elle qui soit propulsif pour les deux.
Coupable ou juge demande le même effort. Pour ne pas prendre toute la responsabilité ou pour arrêter de donner toute la responsabilité à l'autre. Ce sont les efforts nécessaires afin d’arrêter de se laisser dominer par son sentiment de culpabilité !
Une mère se sent coupable que sa fille reste seule avec ses malaises parce qu’elle ne se donne pas d’importance. «Elle tient cela de moi». Elle se sent coupable et ne le dit pas. Mais elle fait l’effort de dire à sa fille que cela lui fait de la peine qu'elle reste seule avec ses malaises. Ce qui touche sa fille qui se sent alors importante ce qui l’encourage à exprimer ses malaises, à se donner ce droit et cette liberté.
Une conjointe exprime à son chum un malaise, il se sent immédiatement coupable et la conjointe se sent coupable que son chum se sente coupable ! Que faire ? Les deux partenaires ne sont plus ensemble, ils s'opposent, pas méchamment, mais en étant chacun qu'avec soi-même. Cela sera peut être de reprendre la conversation en s’écoutant mutuellement, en vérifiant si ce qui est dit est bien entendu. En y allant plus lentement, en prenant son temps. En vérifiant si l’un veut volontairement culpabiliser l’autre quand il dit tel mot ou utilise tel ton de voix. Ici, de prendre son temps pour communiquer et de respecter le rythme de chacun est très important afin de rester, si possible, bien connecté à son ressenti, à ses émotions du moment.
C’est l’effort pour arrêter de donner tout le pouvoir à son sentiment de culpabilité. Si à deux, c'est difficile, un environnement accueillant sera possiblement plus favorable : un ami commun, la nature, un thérapeute, une activité plaisante, qui aidera à recréer un rapprochement tant désiré.