Se donner ou se redonner le droit à ...
Pour une personne sensible à se sentir coupable dans certains aspects de sa vie et n'ayant pas côtoyé de gens qui osaient surmonter leur culpabilité, cela peut devenir tout un défi de se donner le droit à certaines actions pour se faire du bien.
Par exemple :
Être en couple ou en famille et oser prendre une journée pour soi.
Oser demander à sa conjointe ou conjoint un espace d'intimité significatif pour se sentir plus proche.
Oser rester moins longtemps que d'autres en visite en famille, chez des amis, dans une rencontre sociale...
Étant en couple ou travaillant fort et oser conserver sa soirée de gars ou de filles, sa soirée de hockey, d’aller voir un film, de prendre du temps pour lire, pour regarder un film ou une série à la télévision, pour peindre, pour méditer...
Le droit de ne pas se laisser intimider, abuser, envahir, de poser ses limites, de dire non, de se respecter, de ne pas se trahir...
Par exemple :
Être en couple ou en famille et oser prendre une journée pour soi.
Oser demander à sa conjointe ou conjoint un espace d'intimité significatif pour se sentir plus proche.
Oser rester moins longtemps que d'autres en visite en famille, chez des amis, dans une rencontre sociale...
Étant en couple ou travaillant fort et oser conserver sa soirée de gars ou de filles, sa soirée de hockey, d’aller voir un film, de prendre du temps pour lire, pour regarder un film ou une série à la télévision, pour peindre, pour méditer...
Le droit de ne pas se laisser intimider, abuser, envahir, de poser ses limites, de dire non, de se respecter, de ne pas se trahir...
Pas évident de se donner le droit à quelque chose quand on anticipe déjà de souffrir d'un sentiment de culpabilité. Se mettre en action mais se laisser diriger par la suite par son sentiment de culpabilité et cesser d’agir.
Souvent la personne va s'enlever ses droits sans vraiment s'en rendre compte, justifiant en elle que c'est mieux ainsi.
La solution : Oser passer à l'action en se sentant coupable. Passer à l'action en vivant de la culpabilité mais sans s'arrêter pour autant. Persévérer le plus possible.
Oser acheter un objet, acheter des billets pour un spectacle ou suivre un cours qui est très nourrissant mais coûte cher tout en ayant les moyens…
Nourrir une passion. Me nourrir d'une passion au lieu de passer du temps à des choses moins nourrissantes par culpabilité à ressentir du plaisir. Comme présentement, j'éprouve beaucoup de plaisir à écrire cette page. Et je reste avec mon plaisir pour continuer à écrire et ne pas m'éparpiller à me distraire sur Internet. Mon objectif personnel pour 2018 est d'arrêter de bretter pour passer à l'action plus rapidement et vivre ainsi plus de plaisirs. C'est comme si j'avais pris par culpabilité, le pli de remettre à plus tard quand en fait, ce n'est qu'une habitude à ne pas profiter d'un plaisir immédiat. Et cela marche !
Pour se donner un droit, la personne aura souvent besoin dans un premier temps de s'affirmer pour elle-même. Contacter sa colère pour se donner le droit à un besoin précis. Par exemple pour moi, une colère pour arrêter de m'envahir en pensant au travail le week-end ou pour arrêter de penser à des personnes avec lesquelles le contact n’est pas nourrissant.
S'affirmer, pour ne pas lâcher son besoin quand la culpabilité sera vive et l’envie de banaliser ou de se juger s’interposera pour ne pas passer à l'action.
Durant le passage à l'action, tomber vaincu par son sentiment de culpabilité. Pour se reprendre plus tard et essayer d’agir à nouveau.
En parler à quelqu'un qui n'éprouve pas de culpabilité par rapport à un besoin précis à mettre en action, pour s'aider à rester sur l'élan de combler son besoin et dans la réalité que "c'est correct".
Reprendre son droit même si cela dérange un peu ou beaucoup. Tasser en soi le pouvoir que je laisse à l'autre de décider ce qui est correct de faire ou pas. Diminuer l'importance démesurée que j'accorde aux malaises de l'autre, pour m'affirmer dans le passage à l'action. Tasser en soi le négativisme, la passivité, l'inertie pour passer à une action concrète pour se faire du bien et sortir graduellement de son sentiment de culpabilité par rapport à cette action.
C’est à force de répéter cette action que l’intensité de la culpabilité diminuera tout simplement par la réalité vécue dans l’ici et maintenant que cette action m’apporte et apporte aux autres.
Souvent la personne va s'enlever ses droits sans vraiment s'en rendre compte, justifiant en elle que c'est mieux ainsi.
La solution : Oser passer à l'action en se sentant coupable. Passer à l'action en vivant de la culpabilité mais sans s'arrêter pour autant. Persévérer le plus possible.
Oser acheter un objet, acheter des billets pour un spectacle ou suivre un cours qui est très nourrissant mais coûte cher tout en ayant les moyens…
Nourrir une passion. Me nourrir d'une passion au lieu de passer du temps à des choses moins nourrissantes par culpabilité à ressentir du plaisir. Comme présentement, j'éprouve beaucoup de plaisir à écrire cette page. Et je reste avec mon plaisir pour continuer à écrire et ne pas m'éparpiller à me distraire sur Internet. Mon objectif personnel pour 2018 est d'arrêter de bretter pour passer à l'action plus rapidement et vivre ainsi plus de plaisirs. C'est comme si j'avais pris par culpabilité, le pli de remettre à plus tard quand en fait, ce n'est qu'une habitude à ne pas profiter d'un plaisir immédiat. Et cela marche !
Pour se donner un droit, la personne aura souvent besoin dans un premier temps de s'affirmer pour elle-même. Contacter sa colère pour se donner le droit à un besoin précis. Par exemple pour moi, une colère pour arrêter de m'envahir en pensant au travail le week-end ou pour arrêter de penser à des personnes avec lesquelles le contact n’est pas nourrissant.
S'affirmer, pour ne pas lâcher son besoin quand la culpabilité sera vive et l’envie de banaliser ou de se juger s’interposera pour ne pas passer à l'action.
Durant le passage à l'action, tomber vaincu par son sentiment de culpabilité. Pour se reprendre plus tard et essayer d’agir à nouveau.
En parler à quelqu'un qui n'éprouve pas de culpabilité par rapport à un besoin précis à mettre en action, pour s'aider à rester sur l'élan de combler son besoin et dans la réalité que "c'est correct".
Reprendre son droit même si cela dérange un peu ou beaucoup. Tasser en soi le pouvoir que je laisse à l'autre de décider ce qui est correct de faire ou pas. Diminuer l'importance démesurée que j'accorde aux malaises de l'autre, pour m'affirmer dans le passage à l'action. Tasser en soi le négativisme, la passivité, l'inertie pour passer à une action concrète pour se faire du bien et sortir graduellement de son sentiment de culpabilité par rapport à cette action.
C’est à force de répéter cette action que l’intensité de la culpabilité diminuera tout simplement par la réalité vécue dans l’ici et maintenant que cette action m’apporte et apporte aux autres.